Pour bien commencer cette marche, petit échauffement avec le réveil Dévillois et Nadège Leneutre en coach. Petit moment de rigolade comme sur un air de gym douce à la Filandière.

235 personnes ont participé à ce mouvement de solidarité entre la marche des 5 kms et des 8kms.
A 9h30 : 5,4,3,2,1 go, c’est parti la marche commence.

Aux jardins ouvriers, les participants des 5kms ont rencontré les participants des 8kms : un moment valorisant pour tous. Ceux-ci nous ont accueillis avec une haie d’honneur : acclamation et encouragement. Un réel instant de partage sans différence, tous egos.
Après ce moment d’échange entre tous les participants, c’est reparti direction le lycée du cailly… et oui il faut retourner au point de départ. La pluie a pointé le bout de son nez au niveau de Vallourec jusqu’à l’arrivée. Il a fallu sortir les vêtements de pluie mais la marche n’est pas terminée. C’était un vrai moment de solidarité, nous ne sentions même plus la pluie.
Quand nous sommes revenues au point de départ, nous avons été accueillies en musique par le réveil devillois. Des stands étaient installés pour nous restaurer et partager le pot de l’amitié.

Les résidents ont apprécié cet élan de solidarité exceptionnel qui a permis de récolter grâce à cette marche un montant de 2 292€.

Pour rappel, le dépistage a pour but de diminuer le nombre de décès causés par le cancer du sein car, chaque année, le cancer du sein tue 12 000 femmes en France.
Bien sûr il n’y a pas qu’en octobre qu’il faut y penser mais il est important d’en parler, que le message soit entendu par le plus de personnes possibles.
Le service animation a mis en place une décoration où vous pourrez retrouver certains témoignages de résidents dans le hall d’entrée de l’établissement.
Une cause qui nous tient à cœur afin que chacun à son entrée y pense et ose aller se faire dépister, plus nous en parlons plus les gens oseront.

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Pour commencer cette semaine, place à une randonnée pédestre au Bois de l’Archevêque où trois résidents ont participé et ont marché 1.5kms.

Pour continuer cette semaine, ce sont 24 dévillois qui ont répondu présents pour venir partager un après-midi jeux de société au sein de notre établissement. Domino, Scrabble, triomino, cartes…., il y en avait pour tous les goûts. Certains ont pu retrouver des amis de longue date, d’autres des amis de leur association de jeux de société dévilloise.

C’est sur la scène du centre culturel Voltaire, que la semaine s’est poursuivie avec un spectacle cabaret où la troupe B&M Company s’est déployée avec Benjamin en meneur et Marie en meneuse de revue. Ils étaient accompagnés de danseurs et danseuses interprétant des chorégraphies époustouflantes. Mélangeant l’ambiance feutrée des cabarets des années folles, la sensualité des danses latines avec les rythmes endiablés de la samba, tout était à l’image des grands cabarets parisiens : décors, costumes, artistes. Un spectacle éblouissant aux tableaux évocateurs des nuits parisiennes et au plus près des artistes.

Le jeudi était placé sous le signe d’un loto. Chaque participant a eu 3 cartons et des jetons colorés, certains ont privilégié un coloris : on ne sait jamais si ça porte chance.
Même si aucun résident n’a gagné de lot ce jour-ci, ceux-ci ont passé un bon moment très sympathique, concentration et rigolade étaient au rendez-vous.

La semaine s’est clôturée avec un thé dansant à la salle du Cailly. Il fallait y être pour y croire, les résidents présents ont mis le feu à la piste avec des valses ou des musiques plus modernes comme Magic System en passant par un madison, rien ne les arrêtant. Une super ambiance.

Après chacun de ces événements, un goûter était offert aux participants.

Comme toujours, le banquet des anciens est venu clore cette semaine nationale. Cette année, il s’est déroulé le dimanche 13 octobre. Une journée riche en émotions pour les devillois. Pour certains résidents, le banquet des anciens est une première, pour d’autre c’est un événement attendu. Ils ont passé une belle journée sur le thème « latino », l’occasion pour se créer des souvenirs ou faire des retrouvailles.
Les résidents ont vécu un excellent voyage grâce au décor magnifique, au spectacle Brésil avec un orchestre exceptionnel et aux délicieux mets servis par une équipe irréprochable.
Voilà une belle journée qui se termine et certains demandent déjà à s’inscrire pour l’an prochain.

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Un jury, composé de 8 membres, est venu évaluer la qualité du travail de chaque participant un samedi matin.
La remise des prix a eu lieu à la mairie le samedi 14 septembre. Deux résidentes, qui avaient participé au fleurissement du patio, sont venues avec les deux animatrices pour représenter l’établissement.
A notre grande surprise et à notre plus grande joie, la Filandière a reçu le 1er prix dans la catégorie des établissements publics.

Nous avons remporté un bouquet de fleurs, des gourmandises ainsi qu’un bon d’achat chez Valérie Fleurs.

Pour terminer cette cérémonie, nous avons pu prendre le verre de l’amitié accompagné de toasts préparés pour l’occasion.

Les résidentes étaient ravies de ce moment de partage qui, de plus, a permis de valoriser leur travail.
A l’année prochaine pour un patio encore plus coloré

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Chaque visite a été commentée par un(e) conférencier(e).
La densité des informations reçues, nous conduit pour cet article, à condenser la visite de chaque lieu par un souvenir ou une anecdote.

Le musée Pierre Corneille

C’est en 1874 que le département acquiert la propriété pour y installer un musée dédié à la famille Corneille. Communément appelée « La maison manante », Pierre Corneille la reçoit en héritage en 1639 à la mort de son père. Auteur de l’œuvre universellement connue, le Cid il a été élu à l’Académie Française en 1647 au fauteuil 14. Cette demeure cossue, à colombages dispose d’un magnifique jardin composé d’un potager ainsi que d’arbres fruitiers. Celui-ci est joliment aménagé d’espaces de détente et de contemplation. Les résidents ont apprécié de s’y installer.

Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine

Ce musée est classé monument historique, label musée de France et label maison des illustres.
Il est situé dans le pavillon de l’Hôtel-Dieu où est né Gustave Flaubert, et où son père occupait un poste de chirurgien. Ce musée présente des souvenirs de la famille Flaubert et évoque l’histoire de la médecine du moyen-âge au début du XXe siècle. Une importante collection de céramiques, de littérature et de livres anciens s’y trouve. Parmi les curiosités du musée, nous trouvons un mannequin utilisée pour les démonstrations d’accouchement au 18è siècle.

Une anecdote a marqué les résidents lors de notre visite dans ce lieu. En effet, nous avons dû emprunter la cour d’honneur de la préfecture, pour y accéder.

La fabrique des savoirs

La fabrique des savoirs a ouvert ses portes en 2010. Avec ses briques rouges, ses larges espaces et sa toiture en sheds (toits en dents de scie), ce bâtiment est un bon témoignage de l’épopée industrielle d’Elbeuf.
Nous avons pu voir l’exposition temporaire dédiée à la Seine, sa faune et sa flore mais aussi aux grands fleuves du monde.

Nous découvrons ainsi, que le phoque veau-marin est une espèce de mammifère marin qui remonte de temps à autre la Seine, au moins jusqu’au barrage de Poses (Eure), construit en 1878. Il est parfois observé aux alentours d’Elbeuf.

La Seine présente de nombreux dangers pour l’Homme. : brouillard, vents contraires, glaces dérivantes, mascaret, crues,….
Parmi les disparitions présentes dans les mémoires, celle qui a vu périr Léopoldine, la fille de Victor Hugo, fait date. Un coup de vent fort a fait chavirer l’embarcation. Son mari, Charles Vacquerie, bon nageur, a essayé de sauver sa femme gênée par sa robe à crinoline. N’y parvenant pas, il a choisi de périr avec elle.
Selon les époques, les ingénieurs ont rivalisé d’astuces pour concevoir des moyens de relier les deux rives. Ils ont proposé des barques, des bacs, des ponts de plus en plus près de l’océan, voire même un pont de bateaux.
Les résidents se sont remémorés un temps de leur jeunesse. Les ponts étaient détruits par les résistants pour retarder l’arrivée de l’occupant Allemand.

Le musée de la céramique

Érigé entre une cour pavée et un jardin étagé en terrasses, l’hôtel d’Hocqueville abrite la plus importante collection publique française de faïences de Rouen.
Le musée de la céramique propose une exposition intitulée : « Passion Japon, des netsukes aux mangas » consacrée à la culture nippone entre la moitié du 19ème siècle et nos jours.

Le parcours retrace l’histoire de la collection d’objets japonais à travers trois temps forts.
Une première salle évoque l’ambiance d’une boutique de marchand d’art asiatique de la seconde moitié du 19e siècle, où les amatrices et amateurs admirent céramiques, estampes ou netsuke.

Une seconde salle illustre quant à elle une nouvelle période de la collection d’art japonais, du début du 20e siècle aux années 1960. Multipliant les voyages au Japon, les Européens rapportent de leurs périples des objets produits en nombre par les artisans japonais à destination de cette nouvelle clientèle touristique (poupées, éventails, laques). Dans cette salle, un espace convivial dédié aux enfants et aux familles est aménagé à la manière d’une pièce d’une maison japonaise traditionnelle.

Enfin, la troisième salle consacrée à la collection d’art japonais des années 1970 à nos jours, a suscité surprise et interrogation des résidents. En effet, y sont exposés des objets de la pop culture japonaise comme des mangas, des figurines, des jeux vidéo ou encore des affiches.

Découverte !

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Nous avons pu notamment contempler une Citroën Ami6 et une Renault 4 chevaux. L’Histoire nous rappelle qu’elle fut présentée le 26 août 1944, au lendemain de la libération de Paris. Elle symbolisait le retour de la paix et de la prospérité. Première voiture française accessible au plus grand nombre, comme l’indiquait le slogan publicitaire diffusé à l’époque : « 4 chevaux, 4 portes, 444 000 francs ».
Surnommée la « 4 pattes » mais aussi la « motte de beurre » à cause de sa forme et de la couleur jaune de ses premiers exemplaires.

Une DS voiture emblématique des années 1950-1970 était aussi présente. En 1962, la voiture star de Citroën s’est retrouvée bien malgré elle au centre de l’actualité. Le 22 août, deux commandos attendent la DS présidentielle qui transportait le Général de Gaulle. L’attentat manqué du Petit-Clamart a fait un seul blessé et le chef de l’État en est ressorti indemne, notamment grâce aux talents de pilote du chauffeur et à la fiabilité de la voiture, pourtant criblée de balles.
Le succès de la DS est tel qu’on la retrouve même au cinéma, dans de nombreux films devenus cultes. L’acteur Louis de Funès tourne plusieurs longs-métrages avec cette voiture, tels que « Les aventures de Rabbi Jacob » (1973) ou « Fantômas se déchaîne » (1965), dans laquelle la version volante de la DS a marqué les esprits.

Une Citroën 2 chevaux figurait également dans les voitures exposées. Elle fût appelée familièrement Deudeuche ou encore deux pattes en référence à son moteur bicylindre.

Une Simca Aronde, dont madame Monique S, résidente de l’établissement, se souvient avec émotion. C’est dans cette voiture qu’elle est arrivée à la mairie, le jour de son mariage.

Après la contemplation, place à la ballade dans le modèle de leur choix pour celles et ceux qui le souhaitaient.

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Les festivités ont commencé en Grèce, à Olympie où la flamme olympique a été allumée le 16 avril 2024. Elle a pris la mer à bord du prestigieux trois-mâts, le Belem, et a accosté au vieux port de Marseille où l’attendait le premier relayeur Français, Laurent Manaudou, champion olympique.

La flamme olympique va traverser 65 départements mais aussi l’outre-mer avec la Guyane, Nouvelle-Calédonie, la Réunion, Polynésie Française, la Guadeloupe et la Martinique.
Symbole d’unité et de paix, la flamme olympique transmet l’esprit des Jeux.

L’esprit olympique s’est invité au sein de la Filandière. Les résidents, les participants de l’accueil de jour, les familles, les bénévoles de l’association Arts et Loisirs des cheveux d’argent et le personnel se sont mis en scène afin de vous présenter une exposition humoristique autour des différents sports olympiques.

Nos ainés ont également participé à la création du décor via différents ateliers :

• Confection des 3 médailles à partir de carton recyclé, reste de papier peint….

• Peinture sur feuilles afin de réaliser les fonds destinés à recevoir les illustrations des différentes épreuves sportives, en appliquant la technique de la peinture propre (avec du papier cellophane).

• Réalisation de la flamme olympique grâce à différentes matières (papier, feutrine …). Alexia, ergothérapeute et son stagiaire Paul ont animé un atelier Patchwork avec un groupe de l’accueil de jour.

Création de la tour Eiffel, symbole de la ville de Paris, à partir d’une chute de contreplaqué par le mari d’un agent et embellie de sa jolie peinture doré.

Les réalisations sont exposées dans l’entrée et le hall de l’établissement du 21 juin jusqu’au 25 septembre.

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Cela a été un bon moment passé avec les résident(e)s et leur famille autour d’un repas festif. A cette occasion, un service à l’assiette a été proposé et les bénévoles de l’association « Arts et Loisirs des Cheveux d’Argent » étaient présents et en renfort. Le personnel de Bethel s’est impliqué dans la décoration originale et en lien avec le thème du jour.Un concert de rock et autres chansons des années 50 à 80’s, a ensuite été réalisé par Eric Mauduit, artiste qui intervient à la filandière à Déville lès Rouen depuis plusieurs années.

Les participants ont tous apprécié. Quelques pas de danse et de bonne humeur pour saluer l’arrivée du printemps, des jours qui allongent et de la végétation qui renaît ! Quid des futures sorties dans le parc attenant et des ateliers floraux dans le jardin du rez de chaussée.

Rendez-vous, en 2025.

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Ces jeunes pousses ont proposé un programme musical varié joué au piano. Entre « La Mer » de Charles Trenet, en passant par La vie en rose d’Edith Piaf ou encore C’est si bon de Luis Armstrong, les résidents étaient ravis de ce répertoire musical qui leur a fait passer un bon moment.

Madame Stéphanie DUVAL, Directrice de l’association, était accompagnée de Monsieur Franck TERRIER professeur de musique et des familles des jeunes prodiges pour mettre en forme la prestation.

Cette rencontre a été très appréciée des résidents et sera reconduit au mois de mai prochain.

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Les aînés étaient ravis de voir les bambins se trémousser au rythme de la musique.
De manière improvisée, Madame Jacqueline LEPREVOST, résidente, a dirigé l’orchestration d’une comptine : Sur le pont du Nord.

Les résidents aiment à se rappeler des comptines plus anciennes. Les refrains chantés ont charmé ceux-ci : La mère Michel, Au clair de la lune, Meunier tu dors, Il était un petit navire,…
L’anniversaire de la petite Lya, a été célébré à l’unisson lors du goûter qui a clôturé cet après–midi.

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Depuis des années, cette association contribue à préserver la mémoire du personnage en organisant des manifestations visant à faire découvrir ou redécouvrir le talent tentaculaire de l’artiste.

Cette exposition didactique comprenait des textes narratifs, des affiches, des photographies, des pochettes de disques et autres documents. Des pièces mémorielles très étayées qui ont développé la curiosité des visiteurs.
Par le biais de visites libres, résidents, familles et proches ou bien personnels ont pu profiter allègrement de l’évènement. En faveur des résidents, des visites guidées étaient mises en place par l’équipe d’animation et de vie sociale.

Cette parenthèse consacrée à BOURVIL était aussi l’occasion de revoir certains de ses films, notamment dans le cadre des séances cinéma habituellement proposées aux résidents le dimanche.

Les films : « Sérénade au Texas », « Fortunat », « Les grandes gueules » : des opus cinématographiques certes plus rarement diffusés sur le petit écran mais tout autant représentatif de l’artiste.

Le jeudi 29 février Laurent LENORMAND nous invitait à suivre les traces de l’artiste au travers d’une fresque chronologique de son œuvre et imagée par un diaporama.
Par le truchement de commentaires biographiques explicites, des anecdotes racontées, et des imitations incarnées, Laurent a su enthousiasmer durant près d’une heure trente des spectateurs charmés par la prestation. Un auditoire conquis….

Un groupe de résidents de l’EHPAD BETHEL, de Mont Saint Aignan, était invité à nous rejoindre le temps d’un après-midi autour de cette thématique. Une relation naissante et durable entre les deux établissements se construit progressivement car ils font désormais partis de la même entité depuis le 1er janvier 2023.

Chaque visite guidée était suivie d’un goûter en toute convivialité.

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